La formation recèle, entre autres qualités, un atout primordial que nous mettons en exergue : la capacité de créer ou recréer un collectif de travail. Le collectif de travail est un puissant moteur aussi nécessaire qu’essentiel à l’émergence de résultats et de changements au sein d’une organisation. N’oublions pas que l’individu apprend toujours seul mais jamais sans les autres.
La dimension collective de nos journées d’entraînement des pratiques est donc particulièrement privilégiée. Elle est au cœur de nos processus d’apprentissage.
A l’heure du numérique et du multimédia, quel rôle le formateur peut-il encore avoir ?
Pour nous le rôle de l’interaction sociale est déterminant dans le processus d’apprentissage. Le fait que ce soit un groupe entier qui se dirige vers un changement rend la présence du formateur indispensable non pas pour créer une ambiance conviviale (comme on peut le vivre au sein de bon nombre de formations qui sont certes « sympas » à vivre mais qui n’apportent pas de réelle valeur ajoutée et font dire à l’organisation quelques temps après que la formation n’aura servi à rien), mais
pour susciter la controverse et le débat entre les participants : susciter le conflit latent, éviter sa résolution affective, favoriser un climat d’échange positif qui assure la cohésion du groupe.
Nos formateurs travaillent avec le groupe et interagissent sur sa mémoire sémantique (conceptuelle ou générale) : mémorisation du sens par le sens, ce dont on se souvient, mémorisation de ce que l’on comprend, mémorisation de ce qu’on peut relier à d’autres informations, mémorisation de ce que l’on peut situer dans un ensemble, dans un contexte.
Pour lire l’article de notre consoeur adhérente du SYCFI, Bénédicte CONVENT dans son contexte éditorial, c’est ici
Pour connaitre l’activité de son cabinet WINCH Ressources Humaines
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